La mandoline

C'est une Mandriola et "...banez" c'est certainement "Ibañez"

Salut, Snoopy !

Regardes au dessus !

Un grand merci, les experts!

Vout, lais vieu, vou savais pa vou servir d'Internet !

C'est vrai Ralph, mais si on n'a qu'une partie du nom..
Il y a des violons avec étiquette ....ivarius!

Ralph a écrit:

Salut, Snoopy !

Regardes au dessus !

J'avais pas vu! En effet Ralph a trouvé la réponse donc!

Ralph a écrit:

Vout, lais vieu, vou savais pa vou servir d'Internet !

Comment les vieux

felyrops, excuses-moi, mais je plaisantais, bien sur.

Pour un violon, ce pourrait-être ..."ivari", mais pas sur une étiquette :il gravait son nom (je crois, je n'en ai jamais vu)

Mais, de rien, dis! Sur Wiki je me sens comme un poisson dans l'eau, par contre, poster une image sur le forum, c'est la première fois que ça me réussit.
On se lasse de tout excepté de connaître!

Je parle ici de ce CD de concertos pour mandoline, car il n'existe aucun élément biographique sur les compositeurs (pas même leurs dates, sauf Cacere). On sait seulement qu'ils sont du 18ème siècle.





Ce sont les deux derniers (Gaudioso et Anonyme) qui à mon avis sont les plus sensationnels

Un volontaire pour faire une biographie des Anonymes, car il y en a une quantité, et souvent avec des oeuvres intéressantes

https://www.youtube.com/watch?v=ec-0g81xHPo

Intéressant ; il y a même quelques ariettes accompagnées de mandoline

En voici le verso, avec le détail des œuvres :



Des compositeurs inconnus pour lesquels on n'a aucun renseignements (même chez Fétis)

joachim a écrit:

il y a même quelques ariettes accompagnées de mandoline

Recette du jour: ariettes du Mans accompagnées de mandoline

https://www.youtube.com/watch?v=xW38yFmK97A

https://www.youtube.com/watch?v=Jr1etMLfVPY

Je viens de me ré-écouter cela, c'est vaiment joli ! (Mozart, Don Giovanni) :

https://youtu.be/n_-7RHee7NA

Quelle voix !!
Dommage que Mozart n'ait pas plus composé pour la mandoline, d'ailleurs.
Il suivait les commandes de ses "clients"....

Merci, très "peaceful" effectivement..

00:00:00 Giovanni Hoffmann: Quartet in G Major: I. Allegro moderato
00:03:04 Giovanni Hoffmann: Quartet in G Major: II. Adagio non molto
00:07:43 Giovanni Hoffmann: Quartet in G Major: III. Minuetto
00:09:59 Giovanni Hoffmann: Quartet in G Major: IV. Rondo
00:13:20 Giovanni Hoffmann: Quartet in D Major: I. Allegro
00:16:35 Giovanni Hoffmann: Quartet in D Major: II. Romanze
00:19:50 Giovanni Hoffmann: Quartet in D Major: III. Minuetto
00:22:00 Giovanni Hoffmann: Quartet in D Major: IV. Rondo
00:24:25 Giovanni Hoffmann: Quartet in A Major: I. Allegro moderato
00:27:02 Giovanni Hoffmann: Quartet in A Major: II. Adagio
00:30:31 Giovanni Hoffmann: Quartet in A Major: III. Minuetto
00:32:36 Giovanni Hoffmann: Quartet in A Major: IV. Rondo
00:35:45 Giovanni Hoffmann: Quartet in F Major: I. Allegro molto
00:38:46 Giovanni Hoffmann: Quartet in F Major: II. Adagio
00:42:56 Giovanni Hoffmann: Quartet in F Major: III. Minuetto
00:45:09 Giovanni Hoffmann: Quartet in F Major: IV. Rondo

L’instrument a certainement connu un succès fulgurant dans les cercles musicaux viennois, adopté par les aristocrates cultivés qui résidaient dans la capitale des Habsbourg, et son ascension fulgurante a été soutenue par des virtuoses extraordinaires qui ont contribué à promouvoir son répertoire de grande qualité et en pleine expansion.

La musique de chambre raffinée de Giovanni Hoffmann, mettant en vedette la mandoline, a été chaleureusement accueillie par l'élite viennoise, faisant de lui l'une des principales figures du répertoire naissant pour mandoline de la fin du XVIIIe siècle à Vienne. On sait très peu de choses sur sa vie ; le prénom italien associé à un nom de famille clairement d'Europe centrale ajoute au mystère qui entoure son lieu de naissance et son domaine d'éducation.

Hoffmann était à la fois un virtuose de la mandoline et un compositeur estimé. En 1799, le marchand de musique Johann Traeg publia une liste de partitions pour mandoline disponibles à l'achat dans son magasin de la Singerstraße à Vienne. Il comprenait un trio pour mandoline et basse de Hoffmann, et la même année, le compositeur publia un certain nombre d'œuvres manuscrites via Traeg, notamment ses Quatuors pour mandoline, violon, alto et violoncelle et Sérénatas pour mandoline et alto.

L'œuvre de Hoffmann est à nouveau enregistrée en Autriche dans les premières décennies du XIXe siècle, mais – tout comme sa naissance – le lieu et la date de sa mort n'ont pas encore été révélés. Sa musique perdure cependant, témoignage de son talent pour composer une musique délicieuse dans un style classique évoquant les fascinants rassemblements des lettrés viennois.