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 Mère nature en musique...

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Jean

Jean

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-13, 20:23



https://www.youtube.com/watch?v=3ZLkbObwz7A&list=OLAK5uy_k6FRXzFFI8zEsAX8kjQOJkPI662V6IECQ
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Icare
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Icare

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-13, 23:08


Oh la la, Jean! Tu amènes des oiseaux, ils vont dévorer mes insectes! Ptdr

La mer en trois oeuvres:

Uuno Klami: Sea Pictures - en six mouvements - 20'35" - "Turku Philharmonic Orchestra" - Jorma Panula
On notera une très nette référence au Boléro de Ravel dans le dernier extrait de Sea Pictures, intitulé "3 Bf", ce titre se référant à l'échelle de Beaufort qui mesure la vitesse du vent. Dans l'ensemble, j'aime bien cette oeuvre souvent paisible, si peu tempêtueuse, bref une mer dans laquelle j'aimerais naviguer, surtout lorsqu'elle ondule au rythme d'un célèbre boléro. Il semblerai que Uuno Klami fut particulièrement fasciné par la mer.

Richard Meale: Scènes from "Mer de Glace - en quatre mouvements - 20' - "Adelaide Symphony Orchestra" - David Porcelijn.
J'aime toujours autant l'ambiance impressionniste du premier mouvement On The "Mer de Glace". J'ai aimé ce voyage dans lequel cette musique m'a emmené. Grâce à une belle écriture impressionniste, je me suis laissé agréablement dériver pendant environ neuf minutes. Les trois autres mouvements ne sont pas négligeables non plus. La fougue orchestrale de la Village Dance m'a presque fait chavirer et j'ai bien aimé la construction atypique de Mary Shelley's Nightmare avec cette note au piano répétée, qui pourrait sans doute paraître anodine à certains mais qui fut importante à mon oreille.

Richard Meale: Concert Monologue from Mer de Glace - en un mouvement, pour soprano et orchestre - 18'52" - Merlyn Quaife - "Tasmanian Symphony Orchestra" - Richard Mills.
Tout amateur avisé de musiques savantes australiennes sait à quel point les compositeurs sont inspirés par Mère Nature sous toutes ses formes, animales, végétales, montagneuses, extrêmement plates, aquatiques ou désertiques...Les deux oeuvres citées ici sont en réalité tirées de son second opéra Mer de Glace sur un livret de David Malouf et dont la première eut lieu à Sydney en octobre 1991. De ces deux pièces qui en sont tirées, j'ai une préférence assez nette pour celle purement instrumentale que je trouve vraiment très belle et me captive d'un bout à l'autre, ce qui ne veut pas dire que je n'aime pas celle avec soprano... Une chose est sûre, l'une comme l'autre me donnent clairement envie de connaître cet opéra.
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Jean

Jean

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-14, 01:11

Icare a écrit:

Oh la la, Jean! Tu amènes des oiseaux, ils vont dévorer mes insectes! Ptdr


Hélas même dans la nature... Crying or Very sad
J'ai été écoeuré en regardant un docu à la télé sur des oiseaux ne se "cassant pas le bec" à construire un nid et allant pondre chez un autre (comme le coucou, le plus réputé d'entre eux dans nos campagnes)...; après l'éclosion, le jeune coucou, impitoyablement , boute hors du nid les autres oisillons pour mieux profiter des insectes ou chenilles qu'apportent les parents, stupidement aveugles quant à l'intru Mère nature en musique... - Page 3 156732

Mais je ne crois pas que l'opéra de Braunfels met en scène ce genre d'anecdote...
Nb: je ne peux pas vérifier avec mon enregistrement ...que je ne retrouve pas!! Mère nature en musique... - Page 3 156732
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Snoopy
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Snoopy

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-14, 06:00

Jean a écrit:
J'ai été écoeuré en regardant un docu à la télé sur des oiseaux ne se "cassant pas le bec" à construire un nid et allant pondre chez un autre (comme le coucou, le plus réputé d'entre eux dans nos campagnes)...; après l'éclosion, le jeune coucou, impitoyablement , boute hors du nid les autres oisillons pour mieux profiter des insectes ou chenilles qu'apportent les parents, stupidement aveugles quant à l'intru Mère nature en musique... - Page 3 156732

Quelque part c'est rassurant de constater que nous ne sommes pas les seules créatures stupides de la Création Mère nature en musique... - Page 3 231625
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Icare
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MessageSujet: Skalkottas/Rasmussen   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-14, 22:40


Mer & océan:

Nikos Skalkottas: The Sea - Ballet suite - 1948-49 - 45' - "Iceland Symphony Orchestra" - Byron Fidetzis:
Rien ne vaut pour bercer l'esprit qu'un voyage en mer calme. C'est donc avec la musique de ballet La Mer - The sea composée en 1948 par Nikos Skalkottas et orchestrée en 1949 par ses soins que j'ai largué les amarres. Alors, entendons-nous bien, j'ai parlé d'une mer calme, sauf que La Mer de Skalkottas n'est pas calme sur l'ensemble de ses onze mouvements, sur le premier effectivement, elle est délicieuse, car sur son ventre ainsi flottant, je tangue en douceur. j'adore ce prélude. Mais le doux mouvement d'une mer maternelle ne durera pas et l'enfant du second mouvement sera chahuté en fanfare. Elle se divise en deux parties; un premier monde qui se rapporte au réel et donc à la nature, les vagues, les poissons et les humains, et un second monde, surnaturel celui-là dans lequel on y rencontrerait la sirène et d'autres créatures marines, puissent-elles s'extraire, par exemple, d'un roman futuriste de Jules Verne. D'une certaine façon, cette mer-là, dans ses grands enchaînements symphoniques où se télescopent parfois le fracas de cuivres tempétueux à la fébrilité d'un violon volatil, m'évoque celle, partiellement extatique, que Dimitri Tiomkin composa sur Le Vieil Homme et la Mer.

Jacques Ibert: Symphonie marine - 1931:



Sunleif Rasmussen: Symphony no 1: Oceanic Days - 1995-97 - 41'25" - "Danish National Symphony Orchestra/DR" - Hannu Lintu:
la Symphonie n°1 - Oceanic Days de Sunleif Rasmussen s'imposa d'elle-même comme un immense tableau marin pourvu de mille scintillements et dont le mystère enfle et émerge de ses profondeurs. J'ai conscience que la première fois que je l'ai écoutée, l'eau de cet océan était un peu trop glacée et hostile pour me laisser submerger d'émotion: une froideur sonore m'avait envahi... L'oeuvre est de celles qui s'apprivoisent...ou pas?....au fil des écoutes. Un océan n'est pas particulièrement un environnement chaleureux et hospitalier. Il est le plus souvent une masse puissante et impénétrable, un vaste miroir brisé de toutes parts réfléchissant l'effroi des cieux. La symphonie de Rasmussen est très axée sur les couleurs, les reflets, les timbres et les lumières, les sons traités à l'état brut, le tout méticuleusement déployé dans une forme d'immobilité mobile. La croûte océanique, musicalement parlant, se disloque et se reconstruit. Pas vraiment de tempête et aucun tsunami qui soulèverait de gigantesques vagues, les passages les plus mouvementés de cette symphonie entretiennent une cacophonie peu exubérante, inquiétante mais jamais apocalyptique, comme prise dans une "désharmonie" harmonieuse. Le moment le plus lyrique et aussi le plus sobre et intime de ces "Jours océaniques" est exprimé avec sensibilité par un violoncelle solo. Il constitue l'introduction du "Largo" central qui évolue ensuite vers des agrégats sonores plus complexes et glaçants.


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Icare
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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-18, 20:02

Un Organo nel Vento: Sardegna - Ennio Morricone:




La mère nature, cinq oeuvres, trois compositeurs:

Karin Rehnqvist: Arktis Arktis! - 2000/01 - 32' - "Swedish Chamber Orchestra" - John Storgärds
Voilà ce que dit la compositrice à propos de cette oeuvre: <<L'été 1999, j'ai eu l'occasion d'accompagner l'expédition "Tundra Northwest" dans le nord du Canada. Pendant un mois, j'ai vécu sur un brise-glace et de temps à autre un hélicoptère me transportait sur la terre ferme pour suivre les chercheurs et leur étude de la toundra. Les grands espaces ouverts, les régions sauvages, la lumière, les conditions météorologiques changeantes - des expériences renversantes que j'ai ressenti le besoin d'exprimer en termes musicaux à mon retour en Suède..>>
Et voilà ce que fut ma première impression...plutôt élogieuse... extrait: "Il y a une grande tension dramatique dans le premier mouvement, cependant, ce n'est pas l'aspect de l'oeuvre le plus intéressant. J'ai vraiment ressenti la glace dans toute son immensité arctique, ses réverbérations, sa puissance statique, ses architectures, ses couleurs, la menace qu'elle constitue pour la vulnérable petite vie d'humain si elle venait à fondre en masse... Dominée par les cordes, l'oeuvre est plus dans le recueillement que dans la jubilation, plus souvent statique qu'exaltante. Normal: paysage statique, plutôt hostile et mystérieux, à l'horizon flou, où les voix de la vie sont étouffées par le froid et la glace. l'oeuvre est tout en atmosphère, aux évolutions subtiles, au nuances seulement perceptibles par celles et ceux qui lui accorderont toute l'attention qu'elle exige, faut-il encore accrocher à son ambiance et ses pages les plus intérieures, les plus minimalistes, les plus statiques.

Ton That tiêt - Et la Rivière chante l'Eternité - 2000 - 16'38" - pour trio à cordes - Ensemble Les Temps Modernes
Et la rivière chante l’éternité », écrit pour trio à cordes (violon, alto, violoncelle) en 2000, qui est une méditation sur le temps long, interroge grâce à l’acoustique, cette acoustique que l’on entend en creux, rendant l’écho ténu du son instrumental et de ses impacts, interroge les qualités harmoniques, et donc sensuelles, d’un écoulement de silences différents, le tout dans l’élan d’un chant unique. Au temps long de la méditation correspond la phrase longue de la partition, comme un chant tonitruant adossé au silence d’une nuit caractéristique. Pour être plus explicite disons que le silence dans la musique de Ton Thât Tiêt, ce sont des sons ambiants que l’on perçoit et qui ne sont pourtant pas écrits.
Les cordes y opèrent encore un jeu ascétique et épuré qui ne plaira pas à toutes les oreilles mais assez aux miennes, tout comme l'ensemble des oeuvres du compositeur vietnamien, qu'il compose pour l'image ou non.

                        - Les Jardins d'autre Monde - 1987 - 30'38" - pour harpe principale et ensemble instrumental - Sophie Bellanger: harpe/Ensemble Les Temps Modernes/Fabrice Pierre:
La promenade fut encore une fois délicieuse, pleine de fleurs étoilées, de gestes mystérieux. Une écriture et une orchestration raffinée, une musique entre terre et ciel qui interroge les éléments et Mère nature.

                       - Dialogue avec la Nature - 21'13" pour deux guitares et orchestre - Duo Horreaux-Tréhard - Orchestre Poitou-Charentes - Xavier Rist:
<<La musique parle où les mots s'arrêtent et puis là où la musique s'arrête...il faut laisser la nature parler.>> Voilà une devise du compositeur qui correspond parfaitement à ce concerto pour deux guitares et orchestre qui évolue dans un tissus harmonique épuré où chaque son a son importance, sa raison d'être.

Jean-Louis Florentz: Les Jardin d'Amènta - conte symphonique opus 13 - 33'35" - Orchestre National de Lyon - Emmanuel Krivine:
Il y a toujours un filet de mystère qui traverse l'oeuvre de ce talentueux compositeur mort trop tôt. Les Jardins d'Amènta est un conte symphonique s'inspirant, pour une grande part, du "Livre des Morts" égyptien, dont la conception formelle est largement influencée par la structure du conte africain. La palette de couleurs que l'Orchestre National de Lyon sous la direction d'Emmanuel Krivine déploie avec vigueur et éclat, est particulièrement enivrante. Un superbe équilibre s'instaure entre une grande force expressive de la matière orchestrale et une formidable clarté, ce qui, d'une certaine façon, m'évoque la poétique impressionniste d'un Toru Takemitsu, voire même d'un Ton That-tiêt, avec toute fois plus de volupté que ce dernier, dans une dimension narrative moins austère.


Dernière édition par Icare le 2024-04-18, 22:32, édité 1 fois
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joachim
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joachim

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-18, 20:30

J'aime bien cet "orgue du vent" de Morricone - bien que je ne vois pas le rapport avec la Sardaigne Mère nature en musique... - Page 3 1521897346

La symphonie marine de Jacques Ibert, que tu présentes ci-dessus, n'est en fait pas une symphonie mais une musique pour un film documentaire (de 1931) sur la Marine Nationale, qu'il a éditée sous ce titre de symphonie marine et créé en concert en 1963 juste après sa mort, ou plutôt c'est une sorte de poème symphonique en un mouvement.
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Icare
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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-18, 20:37

joachim a écrit:
J'aime bien cet "orgue du vent" de Morricone - bien que je ne vois pas le rapport avec la Sardaigne Mère nature en musique... - Page 3 1521897346

Sardegna, c'est le titre du documentaire sur la Sardaigne, sans doute parce qu'il y a sans doute sur cette île des zones de grands vents tourbillonnants:

En Sardaigne, les vents dominants sont le Maestrale, vent de nord-ouest qui concerne surtout l'ouest de l'île et le détroit de Bonifacio et le Ponente qui souffle de l'ouest. À noter qu'en été les brises thermiques dominent le long des côtes et permettent de bonnes conditions de vent pour naviguer.
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Icare
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MessageSujet: Abril   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-19, 14:31

J'ai réécouté pour la troisième fois, et en conclusion de la seconde partie de ce cycle en hommage à la nature, les quatre volets de ce grand coffret dédié aux musiques qu'Anton Garcia Abril composa pour les documentaires:
Fauna Iberica
Serie Venezolana
Serie Canadiense
Iditarod
Et quelques bonus...
Je ne saurais toujours pas dire lequel des quatre volets, dont chacun dépasse nettement les soixante minutes, a ma préférence, car il y a des perles dans chacun d'eux. Ce sont en tout cas des disques très agréables à écouter avec de belles pages mélodiques émouvantes. Si j'adore le contenu du premier, je peux dire que j'ai également adoré celui bien garni des trois suivants. Voilà des documentaires qui ont éveillé l'imagination la plus fertile du compositeur et que de belles musiques perdues à jamais si elles n'avaient pas connu cette heureuse et peut-être miraculeuse édition qui risque de n'intéresser qu'une niche d'auditeurs parmi les amateurs invétérés de la composition pour l'image, et pourquoi pas, effectivement, quelques téléphiles qui ont vu ces documentaires et en ont aimé suffisamment les musiques pour jeter leur dévolu sur un tel coffret si jamais ils en ont appris l'existence. Cette troisième écoute fut aussi fructueuse en émotions que les deux précédentes. El Hombre Y la Tierra fait sans aucun doute partie de mes toutes meilleures acquisitions de 2022, tout comme celles de Panu Aaltio, également imaginées et conçues pour des documentaires sur la nature, réunies en trois CD sous le titre Tales, seront classées parmi mes meilleures découvertes de 2024: elles avaient conclus la première partie de ce même cycle.

Mère nature en musique... - Page 3 El-Hombre-Y-La-Tierra
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Anouchka

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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty2024-04-19, 15:19

Et un clin d'oeil aux musiques de films de JJ Annaud : La guerre du feu, l'ours, Deux frères...
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MessageSujet: Re: Mère nature en musique...   Mère nature en musique... - Page 3 Empty

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