Vos plus belles musiques de blues

Et perso j'adore les voix masculines éraillées, tu vois....
Par contre, une Billie Holiday qui "criaille trop aigu" (dixit mon fils), je reconnais son immense talent mais sa voix me gêne un peu....

Je n'aime pas plus Billie Holliday pour le coup, j'ai du mal avec ce type de voix

En voix douce :

Je ne trouve pas cela très "blues".
Cassie Taylor donne, me semble-t-il, dans le Rock agressif dans ce morceau.  

Eh bien nous différons,cher ami.
J'aime beaucoup ce que tu envoies, La_pendule , (merci), la voix de Cassie Taylor que je trouve très sensuelle, et justement ce côté rocky tout en restant blues (cf. la chanson..). Mais j'ai toujours aimé la musique rock !

Rock agressif, carrément, on n'a pas la même notion d'agressif

Alors certes c'est du blues rock, mais on est loin du rock pur et dur (que pour ma part, je n'aime pas tellement, d'ailleurs)

Please Come Home For Christmas  · B.B. King

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Merci ! J'aime beaucoup. Bien sûr, c'est triste, mais c'est le "blues" ! Quelle voix, j'en ai des frissons.

James Cotton aussi appelé Jimmy Cotton, est un chanteur et harmoniciste de blues américain, né le 1er juillet 1935 à Tunica (Mississippi) et mort le 16 mars 2017 à Austin (Texas)

Biographie
James Cotton a été l'harmoniciste de Muddy Waters, dans un groupe où il côtoie le contrebassiste Willie Dixon. En 1997, il remporte le Grammy Award du Meilleur disque de Blues traditionnel pour Deep in the blue.

Blues In My Sleep

James Cotton, Harmonica, Composer
Charlie Haden, Contrebasse
Joe Louis Walker, Guitare
Dave Maxwell, Piano

* Ce Virtuose a contribué à faire de son instrument de prédilection une pierre angulaire du blues moderne.

Merci !
J'ai bien aimé, mais je ne suis pas une grande fan d'harmonica. La composition est très sympa, et comme très souvent, c'est le piano que j'ai tendance à préférer...

Luca Sestak (né le 10 janvier 1995 à Celle, Basse-Saxe, Allemagne) est un pianiste et compositeur allemand de boogie-woogie, de blues et de jazz.

Bibliographie
Sestak a commencé à jouer du piano, à l'âge de huit ans et demi, lorsqu'il a été envoyé par ses parents chez un professeur de piano.
En 2012, il a dit à Birgitta Larsson de "Jefferson Blues Magazine" :

"Mon père a essayé de m'apprendre un peu le piano quand j'avais 8 ans, mais je détestais ça. Quand j'avais neuf ans et demi, il m'a envoyé chez un professeur de piano. Je n'aimais pas du tout la musique classique. À onze ans et demi, après deux ans de cours, je devais jouer une sonate de Beethoven. C'est à partir de ce moment-là que jouer du piano a commencé à me donner vraiment du plaisir. Aujourd'hui, cependant, mon rapport à la musique classique s'amenuise encore ; pour être honnête, ce n'est pas facile de courir sur deux pistes et mon cœur bat beaucoup plus fort pour le blues."

Après deux ans de cours de piano classique, Sestak découvre la musique jazz et blues, notamment le boogie-woogie, sur internet principalement via YouTube. Immédiatement captivé par ce style musical, il se lance dans l'apprentissage du piano blues tout en suivant des cours de classique. En décembre 2006, il a partagé ses premières vidéos sur YouTube qui lui ont valu une renommée publique. En 2007, à l'âge de 12 ans, Sestak a visité le Festival international de Boogie Woogie à Lugano, en Suisse, où il savait qu'Axel Zwingenberger se produirait.

En mars 2014, ses premières vidéos avaient reçu jusqu'à 1,8 million de visites. Après des apparitions dans sa ville natale de Karlsruhe, la renommée de Sestak a continué de croître à travers des vidéos. En vieillissant, il commence à se produire régulièrement dans des concerts et festivals en Allemagne, Autriche, Suisse, France, Suède, Italie, Belgique, Pays-Bas, USA et autres pays, aux côtés de Vince Weber, Ben Waters, Silvan Zingg, Pete York, Bob Seeley et Frank Muschalle.

En 2010, Sestak est apparu pour la première fois à la télévision allemande dans "Kaffee oder Tee" sur SWR.

Discographie
2010 : Lost in Boogie (CD solo)
2014 : New Way (CD solo)
2020 : Right Or Wrong

Slow Blues Improvisation.




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Merci pour cette très belle découverte !
J'avais une petite nostalgie du "boogie" et j'avais envie d'y revenir !
Formidable, ce Lucas !

https://youtu.be/QR0z5hcCUoA?list=RDlVZ5d-Paklk

Lee Baker, Jr. dit Guitar Junior à ses débuts puis Lonnie Brooks, né le 18 décembre 1933 à Dubuisson (paroisse de Saint-Landry) en Louisiane et mort le 1er avril 2017 à Chicago (Illinois), est un chanteur et guitariste américain de blues.

Before You Go

Merci ! J'adore !
Très "slow langoureux"....

Jamesetta Hawkins, dite Etta James (25 janvier 1938 à Los Angeles, Californie - 20 janvier 2012 à Riverside, Californie), est une chanteuse américaine de jazz, soul, rock et rythm and blues.

Biographie
Etta James4 est la fille de Dorothy Hawkins, une adolescente afro-américaine âgée de 14 ans à sa naissance, et d'un père d'origine européenne qu'elle n'a jamais connu. Elle est élevée par des nourrices et par les propriétaires de la pension dans laquelle sa mère loue un appartement. Elle s'initie au chant dès l'âge de 5 ans au sein des Echoes of Eden choir, la chorale de l'église baptiste Saint Paul de Los Angeles, dirigée par James Earle Hines.

En 1950, établie à San Francisco, elle intègre un groupe vocal avec deux de ses sœurs quand le chanteur Johnny Otis la remarque et lui fait passer une audition. Son premier disque enregistré pour le label Modern en 1954, « Roll With Me, Henry », est une réponse au tube « Work With Me Annie » de Hank Ballard and the Midnighters. Sous la pression des radios, il est renommé « Wallflower » (n°1 R&B) et Otis change le nom de l'artiste en Etta James, accompagnée de ses choristes, The Peaches.

Etta James continue de chanter seule ou accompagnée du saxophone de Maxwell Davis ou Lee Allen selon le studio ; elle grave successivement « Good Rockin' Daddy » et les féministes « W-O-M-A-N » et « Tough Lover » à la Nouvelle-Orléans. Rachetée par Chess à son label en 1960, Etta James chante en duo avec son boyfriend Harvey Fuqua (The Moonglows) et en solo (« All I Could Do Was Cry »). Dans « At Last » ou « Trust In Me », son R&B porté par une voix rugueuse est tempéré par des cascades de violons. Enregistrée en 1961, sa reprise du « I Just Want To Make Love To You » de Muddy Waters sera un succès trente-cinq ans plus tard via une publicité pour Pepsi. Suivent « Something's Got a Hold on Me » en 1962, l'album live Etta James Rocks The House (1963) et le blues « In the Basement » en 1966.

En 1967, la chanteuse au tempérament de feu obtient son plus grand succès avec « Tell Mama » enregistré aux studios Fame de Rick Hall à Muscle Shoals (Alabama). Le futur classique qui atteint la 23ᵉ place des charts pop est suivi trois ans plus tard par « I've Found Love ». Etta James reste chez Chess jusqu'en 1975, puis signe pour Warner l'album Deep In The Night (1978) avant de poursuivre avec MCA et Changes (1980), produit par Allen Toussaint.

Après quelques années passées à régler ses comptes avec la drogue, Etta James revient en 1986 avec le live Late Show, accompagnée du saxophoniste Eddie « Cleanhead » Vinson. En 1988, elle enregistre pour Island le valeureux Seven Year Itch, suivi de Sticking To My Guns (1990) en country girl et de The Right Time (1992) produit par Jerry Wexler pour Elektra. La chanteuse soul montre qu'elle n'a rien perdu de sa voix rauque et ensorcelante.

Après un album de Noël en 1998 (Etta James Christmas), celle qu'on surnomme « Miss Peaches » est intronisée au Blues Hall of Fame (2001) et reçoit un Grammy Lifetime Achievement Award (2003). La même année sort Let's Roll, suivi de Blues To The Bone (2004) et All The Way (2006). En 2008, le film Cadillac Records qui raconte l'histoire de Chess, fait appel à Beyoncé pour interpréter son rôle. La compilation Who's Blue?, sortie chez Kent en 2011, livre quelques raretés.

Souffrant d'une leucémie et atteinte de démence sénile, Etta James est hospitalisée et placée sous assistance respiratoire en décembre 2011. L'issue fatale intervient le 20 janvier 2012 à Riverside (Californie) où l'une des dernières grandes chanteuses de blues rend les armes.

Misty Blue  




Tell Mama (Live – Montreux Jazz Festival 1977)  
https://www.youtube.com/watch?v=37Jiy_Ec-eI

J'aime beaucoup ! . Merci. Je la connaissais, mais j'avais un peu oublié (perso j'étais plutôt dans le folk-rock-pop...).

CHICAGO BLUES REUNION est une collaboration de légendes de la musique de Chicago qui ont défini le son de leur génération dans les années 1960 – et ont contribué à créer la transition historique de la musique populaire du folk acoustique au rock influencé par le blues électrique. Parmi les grands noms des amateurs de blues, les membres du Chicago Blues Reunion comprennent Barry Goldberg, Nick « The Greek » Gravenites, Harvey « The Snake » Mandel, Corky Siegel, avec le soutien d'un groupe de pros de haut vol, dont Gary Mallaber et Rick Reed.

Legends of Electric Blues-Rock Unite!    

Howlin’ Wolf, de son nom de naissance Chester Arthur Burnett, est né le 10 juin 1910 dans le Mississippi et s'est éteint le 10 janvier 1976 à Hines dans l'Illinois, est un chanteur et compositeur américain de blues.
Au cours de sa jeunesse, on l'appelle Big Foot ou encore Bull Cow, en rapport avec sa corpulence. En effet, l'artiste chaussait du 53 et mesurait 1,92m pour 124 kg.
Véritable bête de scène, ses prestations scéniques sont qualifiées de « tragiques et incantatoires ».

Smokestack Lightnin'

Bill Janovitz a décrit "Smokestack Lightnin'" comme "presque comme une distillation de l'essence du blues... une représentation agréablement primitive et brute du blues, pure et semblable à un chant.

Eddie "Cleanhead" Vinson (8 décembre 1917 - 2 juillet 1988) est un saxophoniste alto et chanteur américain. Il jouait notamment du jazz, du blues et du R&B. Son surnom Cleanhead lui fut donné après que ses cheveux eurent été détruits par un gel mélangé avec de la soude.

Confessin' The Blues  

Alto Saxophone, Vocals – Eddie "Cleanhead" Vinson
Bass – Gene Ramey
Drums – Paul Gunther
Piano, Vocals – Jay McShann

Très sympa. Il y a un petit côté ragtime dans le rythme, que j'aime bien

Henry Gray (19 janvier 1925 – 17 février 2020) était un pianiste et chanteur de blues américain né à Kenner, en Louisiane.

The Little Red Rooster

un artiste de blues que j'aime particulièrement             

Pour l'écouter lors d'un concert donné à Paris le 27 mars 2003 au Meridien Etoile Hotel, cliquer ICI

Luther Allison interprète le blues profond et dur. Ses solos combinaient la sagesse d'un maître conteur doté d'élégance.

Luther Allison - Bad News is Coming (live in Montreux)  

Basse – David Hood
Batterie – Roger Hawkins
Guitare électrique, chant, composition – Luther Allison
Claviers – Michel Carras
Orgue – Barry Becket
Guitare rythmique – Jimmy Johnson

Sa biographie est ICI

Un morceau qui déménage.      

The Meanest Little Girl

Basse – Michael Peters
Batterie – Willie Smith
Guitare électrique – Billy Flynn
Piano, Orgue – Barrelhouse Chuck